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Penser l'aménagement du territoire dans sa globalité
Développer une approche intégrée de la gestion de l’eau appliquée aux projets ou infrastructures existantes sur le territoire Garon’Amont
Comme demandé par le panel citoyen, le PTGAProjet de territoire Garon’Amont. prévoit d’avoir une approche plus intégrée de la ressource intégrant la question des eaux usées traitées et des eaux pluviales. Les réflexions sur l’aménagement du territoire passent également par une gestion concertée et optimisée du canal de Saint-Martory.
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À la une
Élaboration du Contrat de canal Saint-Martory : une charte d’engagement en cours de signature
Expérimenter la Réutilisation des Eaux Usées Traitées (REUT) pour satisfaire les besoins en eau et l’arrosage dans les espaces verts publics et privés
Expérimenter la mise en œuvre de solutions de réutilisation des eaux usées traitées afin de réduire les prélèvements en rivière.
Descriptif de l'action
Une étude permettant d’identifier les potentialités de la REUTLa réutilisation des eaux usées traitées (REUT) consiste à récupérer l’eau usée traitée en sortie de station pour en faire un usage donné (généralement irrigation) plutôt que de la rejeter en rivière. Selon le type d’usage, des traitements épuratoires complémentaires doivent être effectués à l’échelle du périmètre Garon’Amont sera engagé par le Conseil départemental de la Haute-Garonne. Il s’agira d’estimer les gisements potentiels qui pourraient se substituer aux volumes prélevés dans la nappe ou les cours d’eau durant l’étiageMoment de l’année où un cours d’eau atteint son débit minimal. Les étiages peuvent être rendus plus sévères par la sécheresse ou les prélèvements d’eau, par exemple, ou encore rendus plus précoces du fait du changement climatique. Cette étude sera menée en concertation avec les acteurs concernés. L’objectif est de faire émerger, à la suite de cette étude, des projets de REUT portés par des collectivités compétentes ou des établissement industriels, en assurant un accompagnement technique et financier de ces projets. Ces expérimentations permettront de tester concrètement les possibilités de REUT et de caractériser les différentes contraintes sur le territoire Garon’Amont.
Le contexte
La REUTLa réutilisation des eaux usées traitées (REUT) consiste à récupérer l’eau usée traitée en sortie de station pour en faire un usage donné (généralement irrigation) plutôt que de la rejeter en rivière. Selon le type d’usage, des traitements épuratoires complémentaires doivent être effectués est un processus largement développé dans les pays contraints par un déficit hydrique important. A l’échelle nationale, ce type de solution est encore très peu mis en œuvre, du fait notamment de son cadre réglementaire contraignant, mais tend à se développer notamment sur l’arc méditerranéen. Sur le territoire Garon’Amont, 125 stations d’épuration ont été recensées, gérant un volume journalier de 23 736 m³ d’eau. Le gisement potentiel pourrait être stocké durant la période hivernale et restitué pour irriguer des espaces verts et/ou des cultures. Cela revient donc à substituer, en période d’étiageMoment de l’année où un cours d’eau atteint son débit minimal. Les étiages peuvent être rendus plus sévères par la sécheresse ou les prélèvements d’eau, par exemple, ou encore rendus plus précoces du fait du changement climatique, les prélèvements dans les cours d’eau ou dans les nappes, par de l’eau stockée issue des eaux usées traitées sur la période hivernale.
Les objectifs de l'action
- Réaliser des expérimentations sur des secteurs pré-identifiés
Pour en savoir plus, consultez la fiche action
Où en est l'action ?
Début 2024, le Conseil départemental de la Haute-Garonne a confié à son prestataire EAUCEA une étude sur les potentialités de la REUTLa réutilisation des eaux usées traitées (REUT) consiste à récupérer l’eau usée traitée en sortie de station pour en faire un usage donné (généralement irrigation) plutôt que de la rejeter en rivière. Selon le type d’usage, des traitements épuratoires complémentaires doivent être effectués à l’échelle du PTGAProjet de territoire Garon’Amont.. Finalisée en 2025, cette étude permet d’objectiver les potentialités de la REUT sur le périmètre du PTGA et de faire un bilan précis des opportunités et contraintes existantes. Le rapport comporte une dimension pédagogique importante, tel un guide avec le rappel du cadre règlementaire, des précisions sur les modalités de financement par l’Agence de l’Eau, la présentation d’exemples locaux, ainsi que quelques conseils méthodologiques. La finalité est de sensibiliser les différents acteurs qui pourraient être concernés sur les secteurs les plus pertinents.
Parallèlement, le Conseil départemental suit une étude sur les potentialités d’utilisation d’eaux non-conventionnelles menée par la commune de Carbonne (hors dispositif PTGA) ainsi que le projet SOLLAGUA travail de recherche, consistant à concevoir des modèles de REUT « low tech », mené par l’université Toulouse 3 avec la collaboration de la Communauté de Communes du Couserans dans le cadre d’un programme de l’Union Européenne.
Action portée par
Intercommunalités ou Syndicats compétents en Assainissement
Les données clés
L'avancement de l'action
Action engagée, réalisation d’une étude d’opportunité, étude en cours pour plusieurs projets.
Les enjeux
Le développement de la REUTLa réutilisation des eaux usées traitées (REUT) consiste à récupérer l’eau usée traitée en sortie de station pour en faire un usage donné (généralement irrigation) plutôt que de la rejeter en rivière. Selon le type d’usage, des traitements épuratoires complémentaires doivent être effectués doit permettre de réduire les prélèvements (enjeu voulmétrique). Les principaux frein à ce développement sont le cout des investissements nécessaires (enjeu économique) ainsi que l’acceptabilité sociale (enjeu social).
Les chiffres clés
Descriptif de l'action
Une étude permettant d’identifier les potentialités de la REUT à l’échelle du périmètre Garon’Amont sera engagé par le Conseil départemental de la Haute-Garonne. Il s’agira d’estimer les gisements potentiels qui pourraient se substituer aux volumes prélevés dans la nappe ou les cours d’eau durant l’étiage. Cette étude sera menée en concertation avec les acteurs concernés. L’objectif est de faire émerger, à la suite de cette étude, des projets de REUTLa réutilisation des eaux usées traitées (REUT) consiste à récupérer l’eau usée traitée en sortie de station pour en faire un usage donné (généralement irrigation) plutôt que de la rejeter en rivière. Selon le type d’usage, des traitements épuratoires complémentaires doivent être effectués portés par des collectivités compétentes ou des établissement industriels, en assurant un accompagnement technique et financier de ces projets. Ces expérimentations permettront de tester concrètement les possibilités de REUT et de caractériser les différentes contraintes sur le territoire Garon’Amont.
Le contexte
La REUT est un processus largement développé dans les pays contraints par un déficit hydrique important. A l’échelle nationale, ce type de solution est encore très peu mis en œuvre, du fait notamment de son cadre réglementaire contraignant, mais tend à se développer notamment sur l’arc méditerranéen. Sur le territoire Garon’Amont, 125 stations d’épuration ont été recensées, gérant un volume journalier de 23 736 m³ d’eau. Le gisement potentiel pourrait être stocké durant la période hivernale et restitué pour irriguer des espaces verts et/ou des cultures. Cela revient donc à substituer, en période d’étiage, les prélèvements dans les cours d’eau ou dans les nappes, par de l’eau stockée issue des eaux usées traitées sur la période hivernale.
Les objectifs de l'action
- Réaliser des expérimentations sur des secteurs pré-identifiés
Pour en savoir plus, consultez la fiche action
Où en est l'action ?
Début 2024, le Conseil départemental de la Haute-Garonne a confié à son prestataire EAUCEA une étude sur les potentialités de la REUT à l’échelle du PTGA. Finalisée en 2025, cette étude permet d’objectiver les potentialités de la REUTLa réutilisation des eaux usées traitées (REUT) consiste à récupérer l’eau usée traitée en sortie de station pour en faire un usage donné (généralement irrigation) plutôt que de la rejeter en rivière. Selon le type d’usage, des traitements épuratoires complémentaires doivent être effectués sur le périmètre du PTGAProjet de territoire Garon’Amont. et de faire un bilan précis des opportunités et contraintes existantes. Le rapport comporte une dimension pédagogique importante, tel un guide avec le rappel du cadre règlementaire, des précisions sur les modalités de financement par l’Agence de l’Eau, la présentation d’exemples locaux, ainsi que quelques conseils méthodologiques. La finalité est de sensibiliser les différents acteurs qui pourraient être concernés sur les secteurs les plus pertinents.
Parallèlement, le Conseil départemental suit une étude sur les potentialités d’utilisation d’eaux non-conventionnelles menée par la commune de Carbonne (hors dispositif PTGA) ainsi que le projet SOLLAGUA travail de recherche, consistant à concevoir des modèles de REUT « low tech », mené par l’université Toulouse 3 avec la collaboration de la Communauté de Communes du Couserans dans le cadre d’un programme de l’Union Européenne.
Action portée par
Intercommunalités ou Syndicats compétents en Assainissement
Les données clés
L'avancement de l'action
Action engagée, réalisation d’une étude d’opportunité, étude en cours pour plusieurs projets.
Les enjeux
Le développement de la REUT doit permettre de réduire les prélèvements (enjeu voulmétrique). Les principaux frein à ce développement sont le cout des investissements nécessaires (enjeu économique) ainsi que l’acceptabilité sociale (enjeu social).
Les chiffres clés
À la une
Réutilisation des eaux usées traitées, quel potentiel sur le périmètre Garon’Amont ? Lancement d’une étude dans le cadre du projet de territoire
Développer la recharge active de nappes par infiltration des eaux pluviales en milieu urbain ou semi‐urbain
Favoriser l’infiltration des eaux de pluie dans les sols urbains.
Descriptif de l'action
Le Conseil départemental de la Haute-Garonne va porter la réalisation d’une étude multicritères (pentes, occupation des sols, type de sol, présence d’enjeux …) permettant d’identifier des sites urbains propices à la mise en œuvre d’aménagement optimisant l’infiltration dans le sol des eaux de pluies. Un accompagnement technique et financier sera ensuite assuré auprès des collectivités souhaitant engager la réalisation de ce type d’aménagement. L’objectif est de mettre en œuvre des projets pilotes sur plusieurs sites et de bénéficier ainsi un retour d’expérience mis à profit pour concrétiser d’autres projets à venir.
Le contexte
Le SAGE Garonne introduit une règle dans le domaine de la gestion des eaux pluviales sur une part importante du périmètre de Garon’Amont, en insistant notamment sur l’intérêt d’une infiltration des eaux sur des terrains construits ou urbanisés. Favoriser l’infiltration permet d’optimiser les fonctions régulatrices et épuratoires du sol. Dans ce contexte, le PTGAProjet de territoire Garon’Amont. est l’opportunité de développer les solutions de recharge de nappesPratique qui vise à augmenter les volumes d’eau souterraine disponibles en favorisant, par différents aménagements, l’infiltration d’eaux superficielle (ex : rivière) jusqu’à la nappe. à partir d’eaux pluviales. L’objectif général est de réorienter une part de l’eau collectée en milieu urbain en période pluvieuse, vers des sites d’infiltration propices. Les opportunités se présenteraient probablement en zone urbaine dense, là où le volume de ressource pluviale est significatif, ou à l’échelle de zones d’activités ou industrielles proches d’une nappe phréatique.
Les objectifs de l'action
- Favoriser l’infiltration des eaux pluviales dans les nouveaux projets d’aménagement et mettre en place des solutions d’infiltration sur l’existant
Pour en savoir plus, consultez la fiche action.
Où en est l'action ?
L’étude multicritères sur les enjeux de la désimperméabilisation des zones urbaines à l’échelle du périmètre Garon’Amont, lancée par le Conseil départemental de la Haute-Garonne, a été produite en janvier 2023. Le rapport de cette étude, décliné sous une forme synthétique, permet d’évaluer l’incidence de l’artificialisation des sols et d’identifier les secteurs à privilégier pour des aménagements de désimperméabilisation, Cette étude a pour vocation à sensibiliser les élus ou techniciens.
Une première réunion d’information à l’attention des collectivités compétentes a été organisée en avril 2022 sur la commune de Portet-sur-Garonne, avec notamment la visite d’un quartier ayant déjà fait l’objet d’aménagements d’infiltration des eaux pluviales.
En parallèle quelques projets locaux de désimperméabilisation sont suivis. Enfin, d’une manière générale, il est constaté une prise en compte croissante des problématiques liées à l’imperméabilisation des sols dans le cadre de l’élaboration concertée des documents de planification urbaine.
Action portée par
Les données clés
L'avancement de l'action
Action engagée, étude d’opportunité global réalisée (etat de l’art et premières réunion de communication), suivi de projets sur plusieurs communes.
Les enjeux
L’infiltration des eaux pluviales en zones urbaines présente un intérêt fort pour la recharge de la nappe (enjeu volumétrique), elle permet également la réduction des phénomènes de ruissellements qui peuvent générer des dommages sur les infrastructures ou les milieux naturelles (enjeu économique, social et biodiversité).
Les chiffres clés
Descriptif de l'action
Le Conseil départemental de la Haute-Garonne va porter la réalisation d’une étude multicritères (pentes, occupation des sols, type de sol, présence d’enjeux …) permettant d’identifier des sites urbains propices à la mise en œuvre d’aménagement optimisant l’infiltration dans le sol des eaux de pluies. Un accompagnement technique et financier sera ensuite assuré auprès des collectivités souhaitant engager la réalisation de ce type d’aménagement. L’objectif est de mettre en œuvre des projets pilotes sur plusieurs sites et de bénéficier ainsi un retour d’expérience mis à profit pour concrétiser d’autres projets à venir.
Le contexte
Le SAGE Garonne introduit une règle dans le domaine de la gestion des eaux pluviales sur une part importante du périmètre de Garon’Amont, en insistant notamment sur l’intérêt d’une infiltration des eaux sur des terrains construits ou urbanisés. Favoriser l’infiltration permet d’optimiser les fonctions régulatrices et épuratoires du sol. Dans ce contexte, le PTGA est l’opportunité de développer les solutions de recharge de nappes à partir d’eaux pluviales. L’objectif général est de réorienter une part de l’eau collectée en milieu urbain en période pluvieuse, vers des sites d’infiltration propices. Les opportunités se présenteraient probablement en zone urbaine dense, là où le volume de ressource pluviale est significatif, ou à l’échelle de zones d’activités ou industrielles proches d’une nappe phréatique.
Les objectifs de l'action
- Favoriser l’infiltration des eaux pluviales dans les nouveaux projets d’aménagement et mettre en place des solutions d’infiltration sur l’existant
Pour en savoir plus, consultez la fiche action.
Où en est l'action ?
L’étude multicritères sur les enjeux de la désimperméabilisation des zones urbaines à l’échelle du périmètre Garon’Amont, lancée par le Conseil départemental de la Haute-Garonne, a été produite en janvier 2023. Le rapport de cette étude, décliné sous une forme synthétique, permet d’évaluer l’incidence de l’artificialisation des sols et d’identifier les secteurs à privilégier pour des aménagements de désimperméabilisation, Cette étude a pour vocation à sensibiliser les élus ou techniciens.
Une première réunion d’information à l’attention des collectivités compétentes a été organisée en avril 2022 sur la commune de Portet-sur-Garonne, avec notamment la visite d’un quartier ayant déjà fait l’objet d’aménagements d’infiltration des eaux pluviales.
En parallèle quelques projets locaux de désimperméabilisation sont suivis. Enfin, d’une manière générale, il est constaté une prise en compte croissante des problématiques liées à l’imperméabilisation des sols dans le cadre de l’élaboration concertée des documents de planification urbaine.
Action portée par
Les données clés
L'avancement de l'action
Action engagée, étude d’opportunité global réalisée (etat de l’art et premières réunion de communication), suivi de projets sur plusieurs communes.
Les enjeux
L’infiltration des eaux pluviales en zones urbaines présente un intérêt fort pour la recharge de la nappe (enjeu volumétrique), elle permet également la réduction des phénomènes de ruissellements qui peuvent générer des dommages sur les infrastructures ou les milieux naturelles (enjeu économique, social et biodiversité).
Les chiffres clés
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Les vendredis de l’E.A.U : un nouveau cycle de webinaire sur la prise en compte de l’eau dans l’aménagement urbain
Bibliothèque
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Elaborer un contrat de canal à l’échelle du système Saint-Martory
Définir et partager l’ensemble des fonctionnalités du canal de Saint-Martory en proposant un contrat collectif.
Descriptif de l'action
Réseau31, gestionnaire du canal de Saint-Martory et Organisme Unique de Gestion CollectiveUn organisme unique de gestion collective (OUGC) est une structure en charge de la gestion et la répartition des volumes d’eau prélevés à usage agricole pour l’ensemble des irrigants d’un bassin. (OUGCUn organisme unique de gestion collective (OUGC) est une structure en charge de la gestion et la répartition des volumes d’eau prélevés à usage agricole pour l’ensemble des irrigants d’un bassin.) du périmètre réalimenté par le canal, a réalisé un programme de travaux afin d’optimiser la gestion du système hydraulique du canal de Saint-Martory. L’objectif est de prolonger cette étape par une approche concertée, dont l’objectif sera de concilier les fonctions historiques du canal avec celles en émergence. Il s’agira donc pour les différents usagers du canal de bâtir une stratégie de gestion collective du canal fondé sur un état des lieux partagé. Ce travail concerté comprendra une réflexion sur la priorisation des usages dans un contexte contraint par l’évolution du climat.
Le contexte
Creusé au XIXème siècle, le Canal de Saint‐Martory se développe sur un linéaire de 70 km de canaux principaux et 250 km de canaux secondaires. Il est la propriété du Conseil départemental de la Haute-Garonne et sa gestion a été confié à Réseau 31. Il dessert en eau brute un secteur situé en rive gauche de la Garonne et s’étend de Saint‐Martory à Toulouse. Il constitue un vecteur d’eau qui reste primordial pour l’économie d’une très grande partie du département de la Haute‐Garonne. Construit initialement à des fins d’irrigation agricoles, les fonctions du canal se sont peu à peu étoffées : soutien d’étiageLâcher d’eau depuis les retenues, afin d’assurer au cours d’eau concerné un débit minimal. Le soutien d’étiage est réalisé dans le but de maintenir une certaine qualité écologique du cours d’eau ou encore de permettre la poursuite de prélèvements, hydroélectricitéConsidérée comme une énergie renouvelable, l’énergie hydroélectrique désigne l’électricité produite par la force de l’eau. Les barrages peuvent ou non s’accompagner de la création de retenues d’eau artificielles, eau potable, alimentation de plans d’eau de loisir, industries, réalimentation de zones humidesTerrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire..
Les objectifs de l'action
- Elargir les fonctionnalités du canal aux nouveaux enjeux d’aménagement du territoire et concrétiser par un contrat de canal
Pour en savoir plus, consultez la fiche action.
Où en est l'action ?
Action portée par
Les données clés
L'avancement de l'action
Action engagée avec plusieurs réunions de concertations et le recrutement prochain d’un prestataire chargé d’assurer l’élaboration concertée du contrat de canal.
Les enjeux
Cette action vise à définir de façon concertée (enjeu social) les modalités de gestion permettant de pérénser le fonctionnement du canal de Saint-Martory dont les usages concernent tout à la fois les milieux naturels, l’agriculture, la production d’eau potable, l’industrie et l’agrément. Les enjeux de cette actions sont donc transversaux (enjeu social, biodiversité et économique). Le contrat de canal permettra également de conforter les modalités de gestions du système Saint-Martory en période de sècheresse (enjeu voulmétrique).
Les chiffres clés
Descriptif de l'action
Réseau31, gestionnaire du canal de Saint-Martory et Organisme Unique de Gestion Collective (OUGC) du périmètre réalimenté par le canal, a réalisé un programme de travaux afin d’optimiser la gestion du système hydraulique du canal de Saint-Martory. L’objectif est de prolonger cette étape par une approche concertée, dont l’objectif sera de concilier les fonctions historiques du canal avec celles en émergence. Il s’agira donc pour les différents usagers du canal de bâtir une stratégie de gestion collective du canal fondé sur un état des lieux partagé. Ce travail concerté comprendra une réflexion sur la priorisation des usages dans un contexte contraint par l’évolution du climat.
Le contexte
Creusé au XIXème siècle, le Canal de Saint‐Martory se développe sur un linéaire de 70 km de canaux principaux et 250 km de canaux secondaires. Il est la propriété du Conseil départemental de la Haute-Garonne et sa gestion a été confié à Réseau 31. Il dessert en eau brute un secteur situé en rive gauche de la Garonne et s’étend de Saint‐Martory à Toulouse. Il constitue un vecteur d’eau qui reste primordial pour l’économie d’une très grande partie du département de la Haute‐Garonne. Construit initialement à des fins d’irrigation agricoles, les fonctions du canal se sont peu à peu étoffées : soutien d’étiage, hydroélectricité, eau potable, alimentation de plans d’eau de loisir, industries, réalimentation de zones humides.
Les objectifs de l'action
- Elargir les fonctionnalités du canal aux nouveaux enjeux d’aménagement du territoire et concrétiser par un contrat de canal
Pour en savoir plus, consultez la fiche action.
Où en est l'action ?
Action portée par
Les données clés
L'avancement de l'action
Action engagée avec plusieurs réunions de concertations et le recrutement prochain d’un prestataire chargé d’assurer l’élaboration concertée du contrat de canal.
Les enjeux
Cette action vise à définir de façon concertée (enjeu social) les modalités de gestion permettant de pérénser le fonctionnement du canal de Saint-Martory dont les usages concernent tout à la fois les milieux naturels, l’agriculture, la production d’eau potable, l’industrie et l’agrément. Les enjeux de cette actions sont donc transversaux (enjeu social, biodiversité et économique). Le contrat de canal permettra également de conforter les modalités de gestions du système Saint-Martory en période de sècheresse (enjeu voulmétrique).
Les chiffres clés
À la une
Élaboration du Contrat de canal Saint-Martory : une charte d’engagement en cours de signature
Expérimentations de gestion du canal de Saint-Martory
Définir une gestion optimale du canal de Saint-Martory.
Descriptif de l'action
Réseau31, gestionnaire du canal de Saint-Martory, a réalisé un programme de travaux afin d’optimiser la gestion du système hydraulique du canal. Des expérimentations de gestion sont prévues pour optimiser la gestion des flux en période d’étiageMoment de l’année où un cours d’eau atteint son débit minimal. Les étiages peuvent être rendus plus sévères par la sécheresse ou les prélèvements d’eau, par exemple, ou encore rendus plus précoces du fait du changement climatique.
Le contexte
Le prélèvement du canal de Saint‐Martory depuis la Garonne représente un débit de 10 m³ par seconde, satisfaisant de très nombreux usages et fonctions environnementales. En période d’étiageMoment de l’année où un cours d’eau atteint son débit minimal. Les étiages peuvent être rendus plus sévères par la sécheresse ou les prélèvements d’eau, par exemple, ou encore rendus plus précoces du fait du changement climatique sévère, une gestion des besoins du canal permettra de réduire l’intensité des déficits observés à Marquefave (point de référence pour le suivi du débit de la Garonne, situé sur la Garonne en aval de Saint-Martory). Cette gestion est rendue possible grâce aux travaux très importants réalisés par Réseau31 ces dernières années sur les infrastructures et les capacités de mesures des débits du canal.
Les objectifs de l'action
- Réaliser des expérimentations de gestion afin de déterminer quelle serait la gestion optimale du canal de Saint-Martory
Pour en savoir plus, consultez la fiche action
Où en est l'action ?
Depuis plusieurs années, Réseau31 a engagé des chantiers permettant d’optimiser la gestion du canal de Saint-Martory : imperméabilisation des berges, installation de seuils permettant d’augmenter la réactivité du canal, multiplication des instruments de mesures des débits entrants et sortant, automatisation des vannages, mise en place d’une supervision en 2025. 2026 doit marquer la fin de cette phase d’instrumentation avec le démarrage de nouvelles modalités de gestions basée sur une approche prédictive : « hypervision ».
Ce processus d’amélioration en continue porte ses fruits, puisqu’entre 5 à 7 millions de m3 ont été économisés durant l’étiage entre 2020 et 2024. L’objectif est d’adapter le pilotage du canal au plus près des besoins et de limiter ainsi les prélèvements en Garonne dans les périodes de faibles débits.
Action portée par
Les données clés
L'avancement de l'action
Action engagée, le programme d’optimisation doit se terminer en 2026.
Les enjeux
L’action a pour principal objectif de réduire les prélèvements en Garonne (enjeu volumétrique), elle nécessite un programme d’intervention mobilisant d’importants investissements et permet en définitive de sécuriser les nombreux usages (enjeu économique).
Les chiffres clés
Descriptif de l'action
Réseau31, gestionnaire du canal de Saint-Martory, a réalisé un programme de travaux afin d’optimiser la gestion du système hydraulique du canal. Des expérimentations de gestion sont prévues pour optimiser la gestion des flux en période d’étiage.
Le contexte
Le prélèvement du canal de Saint‐Martory depuis la Garonne représente un débit de 10 m³ par seconde, satisfaisant de très nombreux usages et fonctions environnementales. En période d’étiage sévère, une gestion des besoins du canal permettra de réduire l’intensité des déficits observés à Marquefave (point de référence pour le suivi du débit de la Garonne, situé sur la Garonne en aval de Saint-Martory). Cette gestion est rendue possible grâce aux travaux très importants réalisés par Réseau31 ces dernières années sur les infrastructures et les capacités de mesures des débits du canal.
Les objectifs de l'action
- Réaliser des expérimentations de gestion afin de déterminer quelle serait la gestion optimale du canal de Saint-Martory
Pour en savoir plus, consultez la fiche action
Où en est l'action ?
Depuis plusieurs années, Réseau31 a engagé des chantiers permettant d’optimiser la gestion du canal de Saint-Martory : imperméabilisation des berges, installation de seuils permettant d’augmenter la réactivité du canal, multiplication des instruments de mesures des débits entrants et sortant, automatisation des vannages, mise en place d’une supervision en 2025. 2026 doit marquer la fin de cette phase d’instrumentation avec le démarrage de nouvelles modalités de gestions basée sur une approche prédictive : « hypervision ».
Ce processus d’amélioration en continue porte ses fruits, puisqu’entre 5 à 7 millions de m3 ont été économisés durant l’étiage entre 2020 et 2024. L’objectif est d’adapter le pilotage du canal au plus près des besoins et de limiter ainsi les prélèvements en Garonne dans les périodes de faibles débits.
Action portée par
Les données clés
L'avancement de l'action
Action engagée, le programme d’optimisation doit se terminer en 2026.
Les enjeux
L’action a pour principal objectif de réduire les prélèvements en Garonne (enjeu volumétrique), elle nécessite un programme d’intervention mobilisant d’importants investissements et permet en définitive de sécuriser les nombreux usages (enjeu économique).
Les chiffres clés
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