Nouveaux stocks
Construire un cahier des charges pour une gestion optimisée des nouveaux stocks d’eau disponibles
Le stockage de l’eau pour assurer le soutien d’étiageLâcher d’eau depuis les retenues, afin d’assurer au cours d’eau concerné un débit minimal. Le soutien d’étiage est réalisé dans le but de maintenir une certaine qualité écologique du cours d’eau ou encore de permettre la poursuite de prélèvements constitue une des réponses possibles pour maintenir l’équilibre en eau en amont de la Garonne.
Dans ses propositions, le panel citoyen a exprimé le besoin de bien définir en amont les conditions de réussite d’un débat public préalable approfondi. Le panel indique également sur cette question de construction de nouvelles retenues, qu’elle doit être abordée après avoir préalablement mis en œuvre les autres actions (généraliser les économies d’eau, mobiliser les retenues existantes, optimiser les ouvrages).
Découvrez les actions mises en œuvre
Co-construction d'un cahier des charges pour envisager de nouvelles retenues optimisées
Définir des critères de stockage d’eau et, dans un second temps, rechercher des zones géographiques répondant à ces critères.
Descriptif de l'action
Mettre en œuvre et animer un dialogue citoyen autour de la définition de l’intérêt général des retenues et définir collectivement les principaux critères à prendre en compte pour objectiver la pertinence de la création de ce type d’ouvrage en considérant le contexte local. Une fois cette première étape réalisée, une étude pourrait être engagée pour rechercher les sites du périmètre Garon’Amont offrant les meilleures potentialités au regard des critères ainsi définis.
Cette action permettra donc, le cas échéant, de créer les conditions favorables permettant d’engager une concertation locale portant sur un projet spécifique.
Le contexte
Les économies d’eau, la mobilisation des stocks existants et le renforcement de la résilienceCapacité à résister aux chocs, aux épreuves de la Garonne aux situations d’étiageMoment de l’année où un cours d’eau atteint son débit minimal. Les étiages peuvent être rendus plus sévères par la sécheresse ou les prélèvements d’eau, par exemple, ou encore rendus plus précoces du fait du changement climatique constituent le socle d’une politique visant à réduire les usages du fleuve lors des situations d’étiage sévère.
Le non-respect du débit d’objectif d’étiageDébit de référence au-dessus duquel il est considéré que l’ensemble des usages (activités, prélèvements, rejets, …) est en équilibre avec le bon fonctionnement du milieu aquatique. risque de perdurer et de s’aggraver sous l’effet du changement climatique.
Les effets de ces déséquilibres se transmettent au cours aval du fleuve et jusqu’à l’estuaireUn estuaire est la portion de l’embouchure d’un fleuve où l’effet de la mer ou de l’océan dans lequel il se jette est perceptible. Le stockage de l’eau à vocation de soutien d’étiageLâcher d’eau depuis les retenues, afin d’assurer au cours d’eau concerné un débit minimal. Le soutien d’étiage est réalisé dans le but de maintenir une certaine qualité écologique du cours d’eau ou encore de permettre la poursuite de prélèvements constitue une des réponses possibles pour maintenir l’équilibre de la Garonne amont, mais selon les projections climatiques, cela nécessiterait des volumes importants.
Les sites favorables à du stockage d’eau résultent d’une analyse de multiples contraintes, ce qui réduit le nombre de sites potentiels. Les débats relatifs à l’opportunité de ce type de solution sont par essence fortement clivés. Il apparaît donc nécessaire d’organiser une réflexion collective sur les attendus de ce type d’aménagement en amont de tout processus de concertation portant sur un projet prédéfini.
Les objectifs de l'action
- Co‐construire les cahiers des charges d’éventuelles nouvelles retenues d’eau en associant les acteurs techniques de l’eau et les citoyens : modalités de réalisation (par dérivation des cours d’eau et non en les barrant, en les végétalisant, etc.), conditions d’insertion sociale et environnementale, fonctionnalités, priorisation des usages en cas de crise, etc.
- Lancer une étude de recherche de site sur la base des critères du cahier des charges et soumettre les sites identifiés aux acteurs techniques et aux citoyens
Pour en savoir plus, consultez la fiche action.
Où en est l'action ?
La concertation sur les nouvelles modalités de stockage a été engagée début 2023. Un rapport présentant le retour d’expérience de l’étiageMoment de l’année où un cours d’eau atteint son débit minimal. Les étiages peuvent être rendus plus sévères par la sécheresse ou les prélèvements d’eau, par exemple, ou encore rendus plus précoces du fait du changement climatique 2022 a été établi par le bureau d’étude Eaucéa pour nourrir la réflexion collective.
La première phase de la concertation consistant à recueillir l’avis et les solutions préconisées par les différentes parties prenantes et permettant de définir les critères faisant consensus pour l’aménagement d’une retenue de stockage à bilan socio-environnemental optimisé, a été menée par le cabinet Médiation et Environnement au cours du premier semestre 2023. Ce travail a fait l’objet d’une restitution au Comité de Concertation fin 2023.
Une nouvelle phase a été ouverte avec le lancement d’une étude en 2024 permettant d’identifier et de caractériser les sites sur le périmètre Garon’Amont qui, en première analyse, présentent les meilleurs potentiels d’aménagement au regard de ces critères définis collectivement. De premiers résultats généraux de cette étude ont été présentés lors du Comité de Concertation de juin 2025. Toutefois, il a été acté la nécessité de compléter l’étude pour étudier la possibilité de mobiliser des capacités de remplissages complémentaires sur les sites potentiels, celles-ci apparaissant limitantes.
Les résultats sur cette étude de site potentiels devraient être mis en débat au sein du Comité de Concertation en 2026. L’objectif de cette concertation sera de rechercher un consensus sur la suite à donner à l’étude de site potentiels avec un positionnement attendu sur l’opportunité d’approfondir l’étude de certains sites en envisageant un scénario d’ensemble cohérent. Selon les conclusions de cette première concertation à l’échelle des acteurs Garon’Amont, des concertations locales pourraient être engagées dans un second temps.
Action portée par
Les données clés
L'avancement de l'action
La concertation est engagée avec une première phase ayant permis de définir le cahier des charges non technique d’une retenue. Une étude est en cours pour identifier les sites présentant les meilleures opportunités pour un aménagement répondant à ces critères.
Les enjeux
Cette action à pour objectif la définition collective de modalités de stockage d’eau (au sens large du terme) adaptés aux différentes problématiques rencontrées localement
Les chiffres clés
Descriptif de l'action
Mettre en œuvre et animer un dialogue citoyen autour de la définition de l’intérêt général des retenues et définir collectivement les principaux critères à prendre en compte pour objectiver la pertinence de la création de ce type d’ouvrage en considérant le contexte local. Une fois cette première étape réalisée, une étude pourrait être engagée pour rechercher les sites du périmètre Garon’Amont offrant les meilleures potentialités au regard des critères ainsi définis.
Cette action permettra donc, le cas échéant, de créer les conditions favorables permettant d’engager une concertation locale portant sur un projet spécifique.
Le contexte
Les économies d’eau, la mobilisation des stocks existants et le renforcement de la résilience de la Garonne aux situations d’étiage constituent le socle d’une politique visant à réduire les usages du fleuve lors des situations d’étiageMoment de l’année où un cours d’eau atteint son débit minimal. Les étiages peuvent être rendus plus sévères par la sécheresse ou les prélèvements d’eau, par exemple, ou encore rendus plus précoces du fait du changement climatique sévère.
Le non-respect du débit d’objectif d’étiage risque de perdurer et de s’aggraver sous l’effet du changement climatique.
Les effets de ces déséquilibres se transmettent au cours aval du fleuve et jusqu’à l’estuaire. Le stockage de l’eau à vocation de soutien d’étiage constitue une des réponses possibles pour maintenir l’équilibre de la Garonne amont, mais selon les projections climatiques, cela nécessiterait des volumes importants.
Les sites favorables à du stockage d’eau résultent d’une analyse de multiples contraintes, ce qui réduit le nombre de sites potentiels. Les débats relatifs à l’opportunité de ce type de solution sont par essence fortement clivés. Il apparaît donc nécessaire d’organiser une réflexion collective sur les attendus de ce type d’aménagement en amont de tout processus de concertation portant sur un projet prédéfini.
Les objectifs de l'action
- Co‐construire les cahiers des charges d’éventuelles nouvelles retenues d’eau en associant les acteurs techniques de l’eau et les citoyens : modalités de réalisation (par dérivation des cours d’eau et non en les barrant, en les végétalisant, etc.), conditions d’insertion sociale et environnementale, fonctionnalités, priorisation des usages en cas de crise, etc.
- Lancer une étude de recherche de site sur la base des critères du cahier des charges et soumettre les sites identifiés aux acteurs techniques et aux citoyens
Pour en savoir plus, consultez la fiche action.
Où en est l'action ?
La concertation sur les nouvelles modalités de stockage a été engagée début 2023. Un rapport présentant le retour d’expérience de l’étiage 2022 a été établi par le bureau d’étude Eaucéa pour nourrir la réflexion collective.
La première phase de la concertation consistant à recueillir l’avis et les solutions préconisées par les différentes parties prenantes et permettant de définir les critères faisant consensus pour l’aménagement d’une retenue de stockage à bilan socio-environnemental optimisé, a été menée par le cabinet Médiation et Environnement au cours du premier semestre 2023. Ce travail a fait l’objet d’une restitution au Comité de Concertation fin 2023.
Une nouvelle phase a été ouverte avec le lancement d’une étude en 2024 permettant d’identifier et de caractériser les sites sur le périmètre Garon’Amont qui, en première analyse, présentent les meilleurs potentiels d’aménagement au regard de ces critères définis collectivement. De premiers résultats généraux de cette étude ont été présentés lors du Comité de Concertation de juin 2025. Toutefois, il a été acté la nécessité de compléter l’étude pour étudier la possibilité de mobiliser des capacités de remplissages complémentaires sur les sites potentiels, celles-ci apparaissant limitantes.
Les résultats sur cette étude de site potentiels devraient être mis en débat au sein du Comité de Concertation en 2026. L’objectif de cette concertation sera de rechercher un consensus sur la suite à donner à l’étude de site potentiels avec un positionnement attendu sur l’opportunité d’approfondir l’étude de certains sites en envisageant un scénario d’ensemble cohérent. Selon les conclusions de cette première concertation à l’échelle des acteurs Garon’Amont, des concertations locales pourraient être engagées dans un second temps.
Action portée par
Les données clés
L'avancement de l'action
La concertation est engagée avec une première phase ayant permis de définir le cahier des charges non technique d’une retenue. Une étude est en cours pour identifier les sites présentant les meilleures opportunités pour un aménagement répondant à ces critères.
Les enjeux
Cette action à pour objectif la définition collective de modalités de stockage d’eau (au sens large du terme) adaptés aux différentes problématiques rencontrées localement
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