Jeudi 19 mai, les élus du Conseil départemental de la Haute-Garonne ont adopté, en Commission permanente, l’inscription de 5 nouvelles zones au Conservatoire départemental des zones humidesTerrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire., ainsi que le classement des sites qui les entourent en Espaces Naturels Sensibles (ENS), sur la commune de Castillon-de-Larboust.
Dans la Vallée de Larboust, le site comprend trois vallons de haute montagne dominés par des sommets dépassant 3 000 mètres d’altitude. Avec les 3 sites déjà inscrits au Conservatoire départemental des zones humidesTerrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire. en janvier 2021, ce sont 82,96 hectares qui seront maintenant protégés sur la commune.
Les 5 nouvelles zones humidesTerrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire. qui entrent au Conservatoire sont : la zone humideZone humide : Formations végétales qui se développent sur les bords des cours d’eau ou des plans d’eau situés dans la zone frontière entre l’eau et la terre au lac bleu, les zones tourbeuses du lac des Grauès, le lac vert, le ruisseau à l’est du lac noir et le ruisseau de la Houradade.
Par ailleurs, afin de créer une zone tampon autour de ces 8 zones humidesTerrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire. classées, la commune de Castillon-de-Larboust a souhaité classer les zones d’estives qui les entourent en Espace Naturel Sensible. Au total, ce sont 1 618 hectares qui seront maintenant classés ENS sur la commune.
Au total, en Haute-Garonne, 53 sites, soit 444,8 hectares, sont ainsi inscrits fin mai 2022 par le Département au Conservatoire départemental des zones humidesTerrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire.. Ils ont tous préalablement fait l’objet d’une concertation avec les collectivités et/ou les associations concernées. Avec 4 500 ha de zones humidesTerrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire. inventoriées à l’échelle départementale, près de 10% des surfaces sont désormais inscrites au Conservatoire et feront prochainement l’objet de plans de gestion.
